vendredi 28 novembre 2025

Pseudomisation de prescriptions à l'hôpital Sainte-Anne de Paris



"Lobotomie chimique" et "camisole chimique" sont les petits noms donnés au largactil depuis le début de son utilisation en 1952.

C’est un psychotrope. 

Il était censé me soigner,   selon les amis et autres subalternes  de Mr Raphael Gaillard, de :

- l’achat d’une tente de Faraday

- plusieurs changements de serrure

- plusieurs déménagements  et même peut-être ....

- de la douleur provoquée par les tirs d'énergie dirigée vers le  

  cerveau.


J’avais subi cette lobotomie chimique et pire, en 2013 dans un service dépendant de Mr Raphael Gaillard, à l'hôpital Ste-Anne de Paris, après avoir été droguée et enlevée de l'hôpital européen Georges Pompidou de Paris.( service de Mr Philippe Juvin)


En 12 ans , je n'avais pas réussi à avoir accès à mon entier  dossier. 




En janvier  2025 , un avis de la CADA avait provoqué quelques  déflagrations électriques dans des cerveaux  de responsables concernés par ce dossier de 2013 à l’hôpital Sainte-Anne de Paris . 


Cet avis mentionnait mon droit d’accès au dossier  hospitalier complet me concernant.



Quand  en février 2025 j’étais sortie du métro Glacière pour me diriger vers le 1 rue Cabanis, j’avais 1/2 h d’avance sur l’heure indiquée pour ma venue au service des usagers. 


Le gars sur le terre-plein proche du métro  avait retroussé sa manche fissa pour consulter sa montre et dégainé son smartphone rapido.  


Quand j’avais pénétré dans le bureau de Mme Simon, elle m’avait accueillie hilare en agitant une feuille de papier . 

Elle brandissait , disait-elle   la lettre qu’elle m’avait préparée  m’indiquant de  ne pas venir pour cause de dossier incomplet. 


Il manquait , selon elle, la photocopie d’une récente pièce d’identité. 

J’avais présenté ma CI pour copie ….. avant d’être renvoyée dans mes foyers par Mme Louise SIMON employée du service des usagers  , d’un :  « on vous enverra  le dossier par LAR« 

Elle était hilare ++. 


J’attendais, entre autres dans ce dossier,  des copies des prescriptions  de médicaments , datées et  avec le nom du prescripteur et sa signature. 


N05BA1 = valium


5 mois plus tard, j’avais reçu 34 feuilles plus ou moins  semblables à celle-ci, et censées être les copies des prescriptions médicamenteuses  de 2013  qui m’avaient été cachées pendant 12 ans. 


Ce  3ème envoi en 4 mois  était fait par le service  dépendant de Mr Raphael GAILLARD, apparemment adepte  de l’anonymisation ou

 pseudomisation ?   des prescriptions. 

La personne qui avait été chargée de fouiller dans mon dossier  avait pour identifiant IEP 2144703.


La "fouille" dans un dossier archivé d'hospitalisation dans un service public , est encadré par le code la santé publique ( L.1110-4 et L.1112-1), et ce quelque soit ce que décide en interne l'hôpital Ste-Anne/Paris.


Sur cette feuille ci-dessus censée être un récapitulatif de prescription pour initiés,  les pseudos de GAYOLI et DUMESP utilisés,  faisaient penser à :

- Olivier Gay ( existant dans l'organigramme du papier à lettre du 

  service de soin et dépendant de Raphaël Gaillard)

- Pierre Dumesnil De Maricourt ( inexistant sur  ce même document)


L'utilisation de pseudonymes pour embrouiller des usagers pose un problème évident de manquement à la déontologie et qui relève même du parjure ( article 109 du code déontologie).


L’article 75   du code de déontologie ( art . R4163-5 du CSP) stipule clairement  qu’il est interdit d’exercer la médecine sous un pseudonyme 


Et le commentaire précise : L’usage d’un pseudonyme, défini par la jurisprudence  comme « un nom de fantaisie librement choisi par la personne pour masquer au public sa personnalité véritable dans l’exercice d’une activité particulière » est, par voie de conséquence, interdit. Le non respect de cette interdiction est passible d’amende et de sanctions disciplinaires.


Le dossier demandé  datait de 2013. 
Ces feuilles envoyées correspondaient à celle d'un DPI  ( dossier patient informatisé) provenant du logiciel Sillage .
Le logiciel SILLAGE fourni/vendu sans service après-vente  par la société Numih était donc censé avoir été fait à ce moment-là par l’hôpital Sainte-Anne/Paris. 

En 2025 ,j'apprendrai ainsi que les médicaments que l’on m’avait forcée à ingurgiter étaient : 

-VALIUM

-LARGACTIL

-RISPERDAL


Ces médicaments spécifiques ne pouvaient être prescrits que par un médecin  inscrit au tableau du conseil de l’Ordre des médecins de Paris. 


En 2013, Mr Pierre Dumesnil De Maricourt était interne dans le service dépendant de Mr Raphael Gaillard, chef de pôle.


Mais ......L’ordre des médecins ne  reconnaissait pas Mr Dumesnil De Maricourt comme l’un des siens en 2013. 

Le CDOM75 l’affirmera le 6 août 2025  ( lettre ref: DISC/YH/80927)



Dans ces conditions, Pierre Dumesnil De Maricourt n'aurait pas du  être autorisé à prescrire des médicaments spécifiques .

En 2013, Pierre Dumesnil de Maricourt travaillait à sa thèse , sous la direction de Mr Raphael Gaillard, également et en plus , enseignant .

Effectivement en 2013  , Pierre Dumesnil  De Maricourt née en 1983 , n'était connu que dans le cadre d' une activité immobilière, dans la SCI CAPORAL



Apparemment , si l'on suit   seulement les informations de CDOM75 qui avait refusé ma plainte contre Pierre Dumesnil De Maricourt,  il faudra attendre l’arrêté du  1er avril 2016 , pour que Mr Dumesnil De Maricourt  s’inscrive ensuite au tableau de l’Ordre des médecins de Paris.




Alors, à quel titre Pierre DUMESNIL DE MARICOURT  avait-il pu, en plus,  apporter des médicaments aux relents de LSD ,   venant de l’extérieur de l’hôpital Sainte Anne ,  et à mon seul usage,  pour que je les  prenne pendant le week-end  du 25-26  mai 2013 ?  


Apport et/ou nom du produit fourni  hors protocole, par un individu NON inscrit au tableau de l'Ordre des MÉDECINS et  noté dans quel dossier infirmier de l'hôpital Sainte-Anne/Paris , mais  caché à l'usager ? 


Sur ordre de qui ? 
Fourni par qui , mon CAPORAL ? 





************


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire