Les Moutons enragés ont fermé boutique. Une voix parmi les plus importantes d'un site alternatif quitte la scène. Une belle aventure, ayant fait du « complotisme » une œuvre de vérité que l'avenir ne démentira pas, se dissipe dans les profondeurs de la toile.
J'élargis
ici le commentaire que j'y ai déposé en ce week-end de l'Ascension où
l'évaporation citoyenne a rempli les campagnes en vidant les villes !
Les uns montent au ciel, d'autres descendent voir la mer !
Le
travail et l'usure, comme toute œuvre désintéressée, donc humaine, ont
eu raison de la volonté d'une équipe motivée et soucieuse de fournir une
véritable information piochée dans le cambouis.
L'équipe
aura tout fait pour prolonger une aventure qui, à l'origine, n'était
pas tout à fait la sienne. Mais, quand on a plein les sabots et que le
nerf de la guerre (l'argent) fait défaut, ainsi que les bras pour aider,
à commencer par ceux de votre serviteur, qui aurait peut-être pu faire
mieux, il devient difficile d'insister.
Après
tout, nous ne sommes que des humains. Sensibles et vulnérables, fibrés
par des idées dont on ne capte pas l'importance ni la valeur. Il est
plus difficile de défendre des idées qu'un compte en banque.
Il
va falloir s'habituer à passer devant les volets clos de cette maison
respectable à l'heure où le coq sonne la charge. À moins que…
La vie est faite de cycles et celui-ci aura été de ceux dont on se souviendra longtemps avec émotion.
Je
n'ai jamais été un amateur des aventures collectives, ni un féru de
débats où chacun exprime sa passion ou son dégoût, prenant pour vérité
ce qui n'est qu'une opinion personnelle. Ce Graal, contenant plus de
frustration que des certitudes absolues, est rempli de nos misères et de
la bestialité d'un pouvoir politique impitoyable nous conduisant vers
l'abîme.
J'admets cependant que
ces échanges sont enrichissants, y compris pour les esprits rétifs comme
le mien. Je suis un solitaire à la recherche de j'ignore quel but
précisément. Comme beaucoup parmi nous.
Cependant,
il y a une chose que je sais : je ne rends personne responsable de ce
trait personnel, ni n'accuse autrui pour des faits qui dépassent nos
minuscules personnes.
J'ajouterai
que j'aime mon semblable et que je souffre de sa misère et des
injustices qui pleuvent sur nos têtes, autant que le plus engagé d'entre nous. Cette distance que je préserve n'est pas de la froideur. Elle est là pour me prémunir des « souffrances » qu'on pourrait m'infliger. Un moyen d'éviter ce que je supporte très mal : la déception.
Voilà la raison qui peut me faire apparaître distant, égocentrique ou indifférent pour qui ignore ce trait de ma personnalité.
S'il
y a du bien et du bon dans les aventures collectives – j'en ai vécu
quelques-unes –, il y a aussi du mauvais, de l'approximation, de
l'égoïsme et du boursouflé de l'ego. Dans ce cas, on ne sépare pas le
bon grain de l'ivraie, on prend le pack !
Ceci
n'étant la faute de personne, c'est dans la nature des sociétés,
travaillées par des systèmes d'éducation séculaires liés à des
paradigmes politiques dont il est difficile de s'y soustraire. Encore
plus difficile d'y échapper !
On a évoqué aussi (murmuré, dirais-je) l'idée d'une reprise des Moutons enragés par des « candidats »
du cru. D'un relais... Je reste dubitatif sur ce point. Ce qui a été
fait par autrui, ne peut être reproduit par des tiers dont l'implication
n'est pas prouvée !
Je pense à l'esprit et à la lettre. Je me souviens que aventure semblable s'était produite jadis chez Dazibaoueb, dont Jean-Claude fut membre hyperactif de la première version, et dont la reprise à sa cessation ne fut qu'illusion ! Le vrai Dazibaoueb avait bel et bien... rejoint les limbes du digital!
Restera
de cette magnifique et riche expérience, la passerelle entre le virtuel
et le réel qu'emprunteront celles et ceux qui chercheront à y prolonger
les débats, échangeant numéro de téléphone et adresses pour aller de la
sympathie à amitié dans la vraie vie !
Les
parents choisissent souvent des laits végétaux ou des préparations à
base de soja pour les nourrissons, mais les recherches montrent que ces
alternatives peuvent manquer de nutriments essentiels et perturber le
développement hormonal.
Les
préparations à base de soja modifient les tissus reproducteurs et
l’expression de l’ADN chez les nourrissons par rapport au lait maternel
ou au lait de vache, ce qui soulève des inquiétudes concernant les
phytoestrogènes.
Les
laits végétaux réduisent jusqu'à 50 % l'apport en calcium, en vitamine
B12 et en iode des tout-petits, même lorsqu'ils sont enrichis, ce qui
risque de provoquer des carences.
Les
laits végétaux ultra-transformés contiennent des additifs nocifs, des
protéines endommagées et des substances cancérigènes issues d’un
traitement à haute température, contrairement aux produits laitiers crus
riches en nutriments.
Les
experts recommandent le lait maternel ou les préparations maison à base
de lait cru issus d'animaux nourris à l’herbe plutôt que les options commerciales à base
de soja ou de plantes pour une santé optimale de l’enfant.
Les
parents à la recherche d'alternatives aux produits laitiers pour leurs
nourrissons et leurs tout-petits se tournent souvent vers les laits
végétaux ou les préparations à base de soja, les considérant comme plus
sains et plus sûrs. Mais de nouvelles recherches révèlent que ces
substituts ultra-transformés peuvent priver les enfants de nutriments
essentiels et même perturber leur développement hormonal.
Une étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism
a révélé que les nourrissons nourris au lait maternisé à base de soja
présentaient une altération de l'expression des tissus reproducteurs et
de l'ADN par rapport aux bébés allaités ou nourris au lait de vache.
Parallèlement, les boissons végétales réduisent de près de moitié
l'apport en calcium, en vitamine B12 et en autres éléments essentiels
des tout-petits, selon des analyses publiées dans Food Research International et le Journal of Health, Population and Nutrition .
Faillite nutritionnelle dans une tasse à bec
Les laits végétaux, présentés comme des solutions durables et hypoallergéniques, ne sont pas adaptés aux enfants pendant leurs phases de croissance les plus vulnérables
. Des chercheurs allemands ont modélisé les effets du remplacement du
lait de vache par des boissons à base d'amande, d'avoine ou de soja dans
l'alimentation des tout-petits. Résultat ? Une baisse de 50 % des
apports quotidiens en calcium, vitamine B2 et iode, même en cas
d'utilisation de versions enrichies. Les parents ne peuvent pas évaluer
précisément ces substitutions, avertit l'étude, qui souligne que les
additifs synthétiques présents dans les boissons végétales sont moins
biodisponibles que les nutriments naturels des produits laitiers.
La revue Pédiatrie du Journal of the American Medical Association (JAMA)
a fait écho à ces préoccupations en examinant 30 cas de nourrissons
nourris avec une alimentation végétale et ayant développé un rachitisme,
un scorbut ou une carence en protéines. Les recommandations
pédiatriques déconseillent généralement de remplacer le lait par des
boissons végétales chez les enfants de moins de 2 ans.
Le pari hormonal des préparations à base de soja
Les préparations pour nourrissons au soja présentent des risques particuliers. Une étude de référence publiée dans Environmental Health Perspectives
a révélé que les filles nourries au soja présentaient une méthylation
altérée de l'ADN des gènes sensibles aux œstrogènes, ce qui constitue un
facteur potentiel de troubles du développement. Le soja contient plus
de phytoestrogènes que le lait de vache et le lait maternel, ont noté
les chercheurs, faisant référence à des composés végétaux imitant les
œstrogènes. Ces perturbateurs endocriniens, combinés aux antinutriments
du soja (qui bloquent l'absorption des protéines), en font un choix
dangereux pour les nourrissons en développement.
Tromperie ultra-traitée
Au-delà des carences nutritionnelles, les laits végétaux sont des produits industriels chargés d'émulsifiants, de gommes et de protéines endommagées par la chaleur. Des scientifiques de l'Université de Copenhague
ont découvert que le traitement UHT utilisé pour prolonger la durée de
conservation détruit les acides aminés et génère de l'acrylamide, un
cancérigène détecté dans quatre boissons à base d'amande et d'avoine
testées. « La plupart des boissons végétales contiennent déjà beaucoup
moins de protéines que le lait de vache », a déclaré Marianne Nissen
Lund, auteure principale de l'étude, ajoutant que le traitement
thermique dégrade encore davantage la teneur en protéines.
En
revanche, le lait cru de vaches nourries à l'herbe contient des enzymes
vivantes, des bactéries bénéfiques et des acides gras à chaîne impaire,
associés à une réduction du risque de diabète et de maladies
cardiovasculaires. Les produits laitiers entiers sont des aliments
complets soumis à une transformation minimale, tandis que les aliments
végétaux ultra-transformés augmentent la mortalité cardiovasculaire de
12 %.
Un retour à la vraie nourriture
Les
experts exhortent les parents à rejeter le battage publicitaire et à
privilégier la densité nutritionnelle. Le lait maternel reste la
référence. En cas de supplémentation, les laits maternisés à base de
lait cru de vaches nourries à l'herbe sont plus sûrs que les laits à
base de soja du commerce. Les produits laitiers crus (provenant de
sources fiables) offrent des composés qui renforcent le système
immunitaire, absents des produits pasteurisés ou d'origine végétale. Le
lait de soja enrichi est la seule alternative végétale acceptable pour
les tout-petits, et même dans ce cas, il ne devrait être utilisé qu'en
cas de nécessité médicale.
La
science est claire : remplacer le lait de vache par des boissons
végétales transformées revient à sacrifier la commodité à court terme au
détriment des risques développementaux à long terme. Alors que les
géants du secteur commercialisent des laits d'amande et d'avoine dans
des gobelets, les parents doivent s'armer de vérité, et non de
désinformation à la mode.
L'essor des laits végétaux
reflète une évolution culturelle vers une perception plus saine et
durable. Mais pour les enfants en pleine croissance, ces produits
représentent une dégradation nutritionnelle et, dans le cas des laits
maternisés à base de soja, une bombe à retardement hormonale
potentielle.
Une
étude a révélé que le bleu de méthylène à faible dose et la lumière
proche infrarouge peuvent protéger les neurones en stimulant la
production d'énergie mitochondriale, offrant un traitement potentiel
pour les maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer et la
maladie de Parkinson.
Le
bleu de méthylène améliore l'énergie cellulaire en améliorant le
transport des électrons dans les mitochondries. La lumière proche
infrarouge stimule les enzymes cérébrales, augmentant ainsi l'apport
d'oxygène et la survie des neurones sans être invasive.
Ces
deux thérapies ont connu des utilisations diverses. Le bleu de
méthylène était autrefois utilisé contre le paludisme, et la
luminothérapie rouge, autrefois mise en doute, bénéficie désormais d'un
soutien clinique pour la santé cérébrale.
Les
essais cliniques montrent des améliorations dans la dépression, la
récupération après un AVC et la mémoire, avec des effets secondaires
minimes grâce aux principes hormétiques.
Malgré
des résultats prometteurs, les obstacles réglementaires et industriels
freinent leur adoption. Pourtant, si elles sont adoptées, ces thérapies
non médicamenteuses et rentables pourraient révolutionner la neurologie.
À
une époque où les maladies neurodégénératives comme la maladie
d'Alzheimer et la maladie de Parkinson sont en augmentation, une
découverte révolutionnaire est porteuse d'espoir. Des chercheurs ont
découvert que le bleu de méthylène à faible dose – un colorant
centenaire – et la lumière proche infrarouge peuvent protéger les neurones de la dégénérescence en stimulant la production d'énergie cellulaire .
Ces
interventions, appuyées par des études scientifiques rigoureuses,
ciblent les mitochondries, véritables centrales énergétiques des
cellules, pour améliorer les fonctions cérébrales et ralentir le déclin
cognitif. Cette avancée pourrait révolutionner le traitement de millions
de personnes souffrant de troubles cérébraux, sans dépendre des
médicaments coûteux et souvent inefficaces des grandes entreprises
pharmaceutiques.
Au
cœur de cette découverte se trouvent les mitochondries, ces minuscules
moteurs à l'intérieur des cellules qui produisent de l'énergie. Lorsque
ces moteurs tombent en panne, les neurones dégénèrent, entraînant des
maladies comme la démence. Mais les chercheurs ont découvert deux moyens
non conventionnels de dynamiser la fonction mitochondriale.
Le
bleu de méthylène, développé pour la première fois en 1876 comme
colorant textile, possède la capacité unique de céder des électrons aux
mitochondries. À faible dose, il améliore la chaîne de transport
d'électrons, processus par lequel les cellules produisent de l'énergie.
Des études montrent qu'il augmente la consommation d'oxygène des
cellules cérébrales, améliorant ainsi l'efficacité métabolique et
protégeant contre la neurodégénérescence.
Contrairement
aux produits pharmaceutiques agressifs, la lumière proche infrarouge
pénètre dans le crâne et dynamise les mitochondries en stimulant la
cytochrome oxydase, une enzyme clé de la production d'énergie. Cette
thérapie non invasive augmente le flux sanguin et l'apport d'oxygène au
cerveau, favorisant ainsi la survie des neurones.
Le
bleu de méthylène n'est pas nouveau ; il a été utilisé pour traiter le
paludisme pendant la Première Guerre mondiale, puis la
méthémoglobinémie, une maladie sanguine. Mais son potentiel pour
préserver la santé cérébrale a été négligé jusqu'à ce que des études
récentes révèlent ses effets neuroprotecteurs. De même, la
luminothérapie rouge, autrefois qualifiée de pseudoscience, est
désormais validée par la recherche clinique.
Rouge et bleu : travailler ensemble pour la fonction mitochondriale
Les
deux traitements partagent un mécanisme commun : ils stimulent la
respiration mitochondriale, le processus qui maintient les neurones en
vie. Contrairement aux médicaments à forte dose, souvent responsables
d'effets secondaires, ces interventions suivent un principe hormétique :
les faibles doses sont bénéfiques, tandis que les doses élevées peuvent
être nocives.
Le
bleu de méthylène (0,5 à 4 milligrammes par kilogramme) traverse sans
problème la barrière hémato-encéphalique, augmentant l'ATP (énergie
cellulaire) et réduisant le stress oxydatif. Parallèlement, la lumière
proche infrarouge (en particulier des longueurs d'onde spécifiques comme
1 064 nanomètres) pénètre profondément dans les tissus cérébraux, améliorant la mémoire et les fonctions cognitives .
Les essais cliniques montrent des résultats remarquables pour les éléments suivants :
Dépression et trouble bipolaire : le bleu de méthylène à faible dose a amélioré les symptômes chez les patients résistants au traitement.
Récupération après un AVC : récupération neurologique améliorée par la lumière proche infrarouge.
Amélioration de la mémoire : les deux thérapies ont amélioré les performances cognitives chez les individus en bonne santé.
Malgré
des résultats prometteurs, la médecine conventionnelle reste sceptique.
Les obstacles réglementaires et le manque d'intérêt des grandes
entreprises pharmaceutiques ralentissent les progrès. Pourtant, à mesure
que de plus en plus d'études confirment leur efficacité, ces
traitements pourraient révolutionner la neurologie.
À
une époque où les avancées médicales sont souvent liées à des
médicaments coûteux et brevetés, le bleu de méthylène et la lumière
proche infrarouge se distinguent comme des solutions accessibles et scientifiquement prouvées
. Elles incarnent des principes conservateurs : s'appuyer sur des
données scientifiques éprouvées, limiter l'intervention excessive des
pouvoirs publics et permettre à chacun de prendre en main sa santé. Pour les personnes souffrant de troubles cérébraux ou cherchant simplement à préserver leur avenir cognitif, cette recherche offre un réel espoir.
Un
mélange de flocons d'avoine, de sésame noir, de noix et de lait
favorise la lutte contre le vieillissement grâce aux fibres, à la
vitamine E et aux graisses saines.
Les
pousses de brocoli, les grenades, les épinards, les fraises et les
champignons combattent le vieillissement grâce aux antioxydants, à la
santé mitochondriale et au renouvellement cellulaire.
Les
régimes alimentaires des régions où la longévité est importante mettent
l’accent sur les céréales complètes, le poisson et l’alimentation à
base de plantes pour réduire l’inflammation.
Évitez les suppléments excessifs, privilégiez les aliments riches en nutriments et limitez les aliments riches en sucre/sel.
Le
folate pour les télomères, la fisétine pour les cellules sénescentes et
l'ergothionéine dans les champignons activent les voies de longévité.
Le repas qui démarre la journée — et ralentit le temps
La
diététicienne Liao Hsin-Yi, reconnue pour son approche alliant les
stratégies de longévité des Zones Bleues à la science diététique
moderne, a récemment dévoilé un petit-déjeuner anti-âge
qui ne nécessite que trois minutes de préparation. Sa recette – un bol
de flocons d'avoine chauds ou froids, garni de poudre de graines de
sésame noir, de noix et d'un filet de lait – est devenue instantanément
une référence en matière de nutrition anti-âge.
Ce
repas combine 1/3 de tasse de flocons d'avoine (pour les fibres
solubles), 1 cuillère à soupe de graines de sésame noires (riches en
vitamine E) et des noix non salées (graisses bonnes pour le cœur), le
tout mélangé à du lait. Liao souligne sa polyvalence : il peut être
préparé froid la veille (sous forme de « gruau de nuit ») pour les
matins chargés.
«
Il ne s'agit pas seulement de produits chimiques sur une étiquette. Il
s'agit d'intégrer ce qui fonctionne dans les cultures où les populations
vivent le plus longtemps », explique Liao, faisant référence aux zones
bleues – des régions comme Okinawa et la Sardaigne – où les taux de
maladies chroniques sont de 30 à 50 % inférieurs à ceux des zones
industrialisées.
La science qui alimente les aliments : des cellules aux horloges chronologiques
Derrière
la simplicité de ce petit-déjeuner se cachent de puissants principes
scientifiques. Prenons l'exemple des graines de sésame noir, dont la
teneur en vitamine E neutralise les radicaux libres qui endommagent
l'ADN, un facteur clé du vieillissement. Ces noix fournissent des acides
gras oméga-3, qui réduisent l'inflammation arthritique et la plaque
artérielle – une conclusion corroborée par une étude de Harvard de 2022.
Germes de brocoli (activateurs du Nrf2) :
Des études montrent que ces « plantes crucifères » contiennent 50 fois
plus de sulforaphane que le brocoli mûr, activant ainsi les voies Nrf2
pour apaiser l’inflammation et stimuler la détoxification. Le Dr Patrick
les cite comme essentiels pour les organismes exposés quotidiennement
aux polluants.
Grenades (Urolithine A) :
Leurs molécules génèrent le composé Urolithine A, qui déclenche le «
nettoyage » mitochondrial (mitophagie), augmentant l'endurance chez 42 %
des souris âgées étudiées et améliorant l'efficacité énergétique chez
les humains.
Épinards (folate pour les télomères) :
Un taux élevé de folate protège les extrémités des chromosomes
(télomères) du raccourcissement, un biomarqueur lié au vieillissement
accéléré. Pourtant, une supplémentation excessive en acide folique
synthétique (dans les aliments enrichis) peut avoir des effets néfastes,
avertissent des scientifiques de l'Université d'Oxford, soulignant la
nécessité de sources naturelles comme les épinards et les asperges.
Champignons (puissantes sources d'antioxydants) :
une étude de Penn State révèle qu'ils contiennent deux fois plus de
glutathion et d'ergothionéine que tout autre aliment, protégeant ainsi
les cellules du cerveau et des muscles.
Des zones bleues aux plans directeurs : le régime de longévité éprouvé
Le régime des zones bleues, étudié en profondeur par National Geographic , rejoint la science moderne dans son accent mis sur les aliments entiers et une alimentation consciente.
Les céréales complètes plutôt que les féculents raffinés :
Liao remplace les glucides raffinés (par exemple, le riz blanc) par des
patates douces et de l'avoine, citant des études liant les sucres
raffinés au syndrome métabolique, un précurseur du diabète et de
l'inflammation liée au vieillissement.
Fruits de mer plutôt que viande rouge :
les poissons riches en oméga-3 comme le saumon sont les vedettes des
régimes de longévité, tandis que l’huile d’olive méditerranéenne — un «
héros des graisses mono-insaturées » — réduit les risques de cancer du
sein et colorectal de 25 % en raison de sa teneur en polyphénols ( Journal of the American College of Cardiology ).
Aliments de base riches en polyphénols : le thé vert (3 à 5 tasses par jour) stimule la mémoire, tandis que les baies combattent la maladie d'Alzheimer.
Le contrepoids prudent : éviter les pièges alimentaires
Malgré la promesse des aliments anti-âge, Liao met en garde contre les raccourcis :
Surcharge de suppléments :
Un excès de suppléments en vitamines C, D ou E peut nuire plutôt que
guérir. Elle recommande des « multivitamines à dosage modéré », en
privilégiant les aliments plutôt que les comprimés.
Manger trop de noix : une poignée (28 g) suffit ; une quantité plus importante risque d'entraîner un surplus de calories.
Réduire les coupables pro-inflammatoires :
Le guide Form Health émet des conseils clairs : supprimez les régimes
riches en sel (liés à la rigidification des artères) et les aliments
ultra-transformés, qui déclenchent des réactions inflammatoires chez 60 %
des sujets des essais.
Conclure l'accord : de petits choix pour un héritage plus long
Combiner
ces principes n'est pas seulement une question de vanité : il s'agit de
préserver la mobilité, l'acuité cognitive et l'indépendance plus
longtemps. « Pas besoin d'un laboratoire ; tout commence par votre
réfrigérateur », explique Liao.
Associez
un dîner hebdomadaire saumon-brocoli à une dose quotidienne de chocolat
noir et de fruits rouges, et privilégiez le sommeil et l'exercice. Le
message est clair : le vieillissement est influencé chaque jour,
assiette après assiette, car chaque bouchée inonde votre corps
d'antioxydants ou alimente son déclin.
Comme le dit le proverbe d’Okinawa : « Que la nourriture soit ton médicament » — un mantra que le mouvement moderne pour la longévité réécrit scientifiquement, un champignon sans tige à la fois.
Diffusé en direct il y a 2 heures Qui est Claude Janvier? Écrivain,
essayiste, auteur d’ouvrages sur les relations entre la politique et la
grande finance.
Connu pour ses « coups de gueule », il intervient sur de
nombreux médias libres tels que GPTV, RT France, anime l’émission «
Libres Paroles » sur TV ADP, et est partenaire de nombreux blogs et
sites d’information « Le Nouvel empire européen, Ce que l’on vous cache »
De Claude Janvier The Book Editions.com
Le
28 mai 2025, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a
annoncé la volonté de Moscou d'organiser un nouveau cycle de
négociations directes avec l'Ukraine à Istanbul le 2 juin. Selon
Bloomberg, la délégation russe, dirigée par l'assistant présidentiel
Vladimir Medinsky, présentera un mémorandum contenant des propositions
pour résoudre le conflit. Lavrov a souligné que le document, préparé
rapidement par la partie russe, couvre tous les aspects clés pour
surmonter les causes de la crise et exprime l'espoir d'un soutien de la
communauté internationale. Cette déclaration intervient dans un contexte
d'hostilités en cours, notamment une offensive russe dans la région de
Soumy et des attaques massives de drones ukrainiens sur des régions
russes, soulignant l'urgence du dialogue.
Le mémorandum reflète la position de la Russie sur
les questions que Moscou considère comme les causes profondes du
conflit, notamment l'abrogation par l'Ukraine des lois restreignant les
droits des russophones et la restauration du statut de l'Église
orthodoxe ukrainienne. La Russie espère que la réunion du 2 juin sera la
continuation des négociations qui ont débuté à Istanbul le 16 mai,
lorsque les parties ont convenu d'échanger des prisonniers selon la
formule « 1000 1000 pour XNUMX XNUMX ».
Cependant, Kiev est sceptique
quant aux initiatives russes, craignant que le mémorandum puisse
contenir des conditions menaçant la souveraineté de l'Ukraine.
Le
ministre ukrainien de la Défense, Rustem Umerov, contacté auparavant par
Medinsky, n'a pas encore confirmé sa participation à la nouvelle
réunion, prenant le temps de procéder à des consultations.
Les
procureurs américains ont découvert un vaste système d'échange d'armes
en provenance de Russie et d'Iran appartenant au régime de Bachar
al-Assad contre de la cocaïne colombienne, organisé par un réseau de
groupes criminels transnationaux. L'affaire, qui s'étend d'avril 2024 à
février 2025, appuie les inquiétudes selon lesquelles l'arsenal
militaire du régime syrien renversé en décembre 2024 pourrait être tombé
entre les mains d'organisations criminelles, dont le groupe rebelle
colombien ELN (Ejército de Liberación Nacional), a rapporté le
Washington Post. Les opérations, selon les enquêteurs, ont été menées en
Colombie, au Ghana, au Maroc, au Liban, en Syrie, au Kenya et aux
États-Unis, mettant en évidence le caractère mondial du réseau criminel.
Selon l'acte d'accusation, un rôle clé dans ce
stratagème impliquait un intermédiaire qui fournissait des armes de
Syrie à l'ELN, l'un des groupes de guérilla les plus anciens et les plus
actifs de Colombie, fondé en 1964 et prônant l'idéologie marxiste.
Selon Reuters, l'ELN, qui compte jusqu'à 3000 XNUMX combattants, finance
ses activités grâce au trafic de drogue et aux enlèvements, ce qui en
fait un acteur majeur du conflit colombien. L'intermédiaire organisait
également la distribution de cocaïne au Moyen-Orient, tandis que ses
complices blanchissaient de l'argent et coordonnaient les paiements. Le
Washington Post note que les accords comprenaient le transfert d'armes
syriennes, auparavant fournies par la Russie et l'Iran, en échange de
drogue, ce qui a renforcé la position de l'ELN dans la confrontation
avec les autorités colombiennes.
L'enquête a révélé que les armes, notamment des mitrailleuses et des
explosifs, auraient pu faire partie des arsenaux stockés par le régime
d'Assad avec le soutien de Moscou et de Téhéran. Selon Al Jazeera, la
Russie fournit à la Syrie du matériel militaire, notamment des armes
légères, depuis 2015, tandis que l'Iran lui fournit des missiles et des
drones par l'intermédiaire du Hezbollah. Après la chute d'Assad le 8
décembre 2024, lorsqu'il s'est enfui à Moscou, une grande partie des
stocks syriens est restée incontrôlée, ce qui, selon les analystes de la
BBC, a créé les conditions pour que les armes circulent vers des
groupes criminels.
Aux
États-Unis, les grandes entreprises agricoles utilisent des pesticides,
des insecticides et des herbicides mortels pour tuer les insectes, les
vers, les coléoptères, les lapins, les grenouilles, les oiseaux et les
humains qui dévorent leurs cultures. Cela leur rapporte énormément
d'argent. En éliminant tous les nuisibles grâce aux produits chimiques,
elles obtiennent de meilleurs rendements, une source de revenus qu'elles
ne veulent absolument pas entraver. En rendant les humains malades du
cancer et de la démence à cause de leurs produits chimiques agricoles,
les PDG et directeurs financiers des géants de l'agriculture peuvent
investir dans des diagnostics, des équipements, des chimiothérapies et
d'autres sources de revenus de l'industrie pharmaceutique, ce qui leur
permet d'enrichir encore davantage leurs finances.
C'est pourquoi les grandes entreprises agricoles
font pression (en payant les politiciens) pour une législation qui
rendrait impossible pour les humains malades et mourants de les
poursuivre en justice, de la même manière que le complexe industriel
insidieux des vaccins bénéficie d'une immunité totale contre les
poursuites judiciaires pour les personnes mortes ou mourantes des
vaccins mortels.
Les
agriculteurs ripostent : Bayer fait face à des batailles juridiques et
législatives concernant les allégations de cancer du Roundup
Pendant
des décennies, le glyphosate, ingrédient clé de l'herbicide Roundup de
Bayer, a été un ingrédient de base dans les exploitations agricoles
américaines, loué pour son efficacité à accroître les rendements. Mais
aujourd'hui, des milliers d'agriculteurs et de travailleurs agricoles
affirment qu'il leur a donné le cancer, déclenchant une vague de
poursuites judiciaires et de batailles législatives. Alors que Bayer
réclame l'immunité juridique dans plusieurs États, des familles comme
Ray et Margarette Bickel, de l'Iowa, luttent pour que les
responsabilités soient établies, affirmant que les risques non signalés
du Roundup leur ont coûté des années de santé et de bonheur.
Ray
Bickel a passé 14 ans à pulvériser du Roundup (contenant 50 % de
glyphosate cancérigène) dans les champs de maïs et de soja de l'Iowa,
confiant dans son innocuité. En 2017, on lui a diagnostiqué deux cancers
– une leucémie lymphoïde chronique et un cancer du rectum de stade 3 –
que ses médecins ont attribués à une exposition aux pesticides.
Aujourd'hui en phase terminale, Bickel fait partie des 181 000
plaignants qui poursuivent Bayer en justice, arguant que l' entreprise n'a pas averti les utilisateurs des risques du glyphosate .
«
Il n'y avait pas d'avertissement concernant le cancer », a déclaré
Bickel. « Je pensais que c'était sans danger. » Sa femme, Margarette, a
ajouté : « Cela lui a ôté des années de vie. Comment les législateurs
peuvent-ils protéger les entreprises responsables ? »
Bayer,
qui a acquis Monsanto, fabricant du Roundup, en 2018, a milité en
faveur de lois d'« immunité aux pesticides » dans neuf États, dont
l'Iowa et le Missouri. Ces projets de loi bloqueraient les poursuites
judiciaires fondées sur des avertissements inadéquats si le produit est
conforme aux normes fédérales de l'EPA, qui considèrent actuellement le
glyphosate comme sûr.
Les
opposants, comme l'Iowa Farmers Union, affirment que ces lois
privilégient les entreprises au détriment de la santé publique. « Les
agriculteurs sont responsables de leurs erreurs ; pourquoi pas les
fabricants de pesticides ? », a déclaré le président du syndicat, Aaron
Lehman. Bayer rétorque que les projets de loi sont trop restrictifs.
« Il ne s'agit pas d'une immunité totale », a déclaré sa porte-parole,
Jessica Christiansen.
L'EPA
maintient que le glyphosate n'est pas cancérigène, mais des chercheurs
indépendants ne sont pas d'accord. Le Centre international de recherche
sur le cancer (CIRC) de l'Organisation mondiale de la santé le classe
comme « probablement cancérigène », invoquant des liens avec le lymphome
non hodgkinien. Une méta-analyse de 2021 a également révélé des risques
accrus de cancer chez les utilisateurs de glyphosate.
Les
critiques, dont Lynelle Phillips, experte en santé publique à
l'Université du Missouri, affirment que les études financées par
l'industrie minimisent les dangers. « Les données sur lesquelles Bayer
s'appuie sont erronées », a-t-elle souligné. Parallèlement, Bayer
prévient que la restriction du glyphosate pourrait menacer la sécurité
alimentaire – une affirmation affichée sur les panneaux d'affichage dans
toute la région agricole.
Alors
que Bayer envisage d'abandonner la production de glyphosate en raison
des frais de justice, le débat fait rage : le Roundup est-il une
nécessité agricole ou un danger pour la santé ? Pour les Bickel, la
réponse est claire. « Ils ont pris la santé de mon mari », a déclaré
Margarette. « Maintenant, ils veulent nous priver de notre droit de
riposter. » Alors que les projets de loi sur l'immunité sont bloqués –
pour l'instant – dans des États clés, le conflit entre les intérêts des
entreprises et la sécurité des agriculteurs reste entier, laissant les
familles et les législateurs à la croisée des chemins.
Réglez la fréquence de vos actualités alimentaires sur FoodSupply.news
et recevez des mises à jour sur les produits chimiques cancérigènes de
Big Ag qui tuent les agriculteurs et les consommateurs qui mangent des
cultures et des produits conventionnels frelatés.
Des preuves sont apparues montrant que le président Trump est protégé par l’État profond - ENCORE!
Au cours du premier mandat de Trump, il s’est avéré que l’État profond le maintenait dans une sorte de cocon d’information; le gardant dans l’ignorance des faits clés. La preuve est apparue après le départ de Trump, concernant les troupes américaines en Syrie.
Trump avait ordonné le retrait de ces troupes, et on lui avait dit à plusieurs reprises qu’elles étaient retirées. Mais après que Trump ait quitté son poste au cours de son premier mandat, les militaires se sont moqués du fait que les troupes étaient toujours en Syrie et que Trump avait été trompé à ce sujet!
Personne n’est allé en prison pour avoir menti au commandant en chef. Ils auraient dû le faire. Ils devraient encore le faire.
Nous voici dans le terme #2 de Trump, et la preuve est sortie hier que l’État profond lui fait encore ça.
Ce dernier exemple s’est révélé lorsque Trump a été interviewé par les médias au sujet de l’Ukraine frappée par des missiles russes dans plusieurs villes. Voici une vidéo des propos de Trump. Prêtez une attention toute particulière à la question du journaliste concernant le suivi et signalant que l’hélicoptère présidentiel de Poutine a été pris dans une attaque par drone en Ukraine :
Avez-vous entendu le journaliste poser des questions au sujet de l’hélicoptère qui a été pris dans une attaque par drone en Ukraine?
Trump a répondu "je n’avais pas entendu cela; peut-être que c’était ça."
Trump a alors réitéré "Je n’avais pas entendu parler de cela."
VOILÀ ! Il est de nouveau enfermé dans un cocon d’information. Ils lui cachent encore une fois des faits clés!
Je suis assis ici le lundi matin (jour férié du Memorial Day) dans la région métropolitaine de New York, et je savais que l’hélicoptère de Poutine devait esquiver les drones ukrainiens. Je le sais depuis TROIS JOURS. Le journaliste qui a posé la question en était au courant. Comment est-il possible que le président des États-Unis ne le sache pas? Parce qu’il est de nouveau "hors-circuit".
Celui qui fait ça au président doit être confronté directement, personnellement. Le président doit donner l’exemple aux gens qui font cela pour que tout le monde sache qu’ils ne doivent pas cacher des informations au commandant en chef.
Par décret du Président de la République en date du 23 novembre 2020, vu l’avis du Conseil supérieur de la magistrature lors de sa séance du 20 octobre 2020, Mme Aline EMPTAZ, magistrate du premier grade, est placée en position de détachement auprès du ministère de l’intérieur, dans le corps des administrateurs civils, afin d’exercer les fonctions de conseillère juridique auprès du directeur général de la gendarmerie nationale à l’administration centrale du ministère de l’intérieur, à compter du 1er novembre 2020 jusqu’au 31 juillet 2023.
Une magistrate, nouvelle conseillère justice du directeur général de la Gendarmerie
Par décret du Président de la République en date du 7 août 2023, publié au Journal officiel du 9 août 2023, et après l’avis du Conseil supérieur de la magistrature lors de sa séance du 29 juin 2023, Anne-Sophie Beyssac, magistrate du premier grade, est placée en position de détachement auprès de la direction générale de la Gendarmerie nationale du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer, dans le corps des administrateurs de l’Etat, afin d’exercer les fonctions de conseillère justice auprès du directeur général de la Gendarmerie nationale. Un poste prévu pour une durée de deux ans, à compter du 1er septembre 2023.
La magistrate arrive de Besançon (Doubs), où elle occupait depuis décembre 2020 le poste de conseillère chargée du secrétariat général de la cour d’appel. Elle était également magistrate déléguée à la formation et intervenait à ce titre au sein de l’École nationale de la magistrature.
Selon l’Yonne républicaine, qui faisait état de son installation au tribunal de grande instance d’Auxerre en 2013, Anne-Sophie Beyssac a également été auditrice de l’Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN).
Un changement bienvenu
La lumière s’était tournée vers ce poste, pourtant assez confidentiel, après un grognement qui avait raisonné à la fin de l’été 2022 dans les couloirs de la direction générale de la Gendarmerie, et même fait écho à l’extérieur jusqu’à en fragiliser le directeur général. Ils ciblaient particulièrement l’ancienne occupante de ces fonctions de conseiller justice auprès du DG, la magistrate Aline Emptaz. Des bruits de couloirs indiquaient qu’elle avait sur le général Rodriguez, une influence qui dépassait le cadre de ses fonctions, parfois même assimilable à celle du numéro deux de l’Arme. Une position pourtant dévolue au major-général. Parmi les sujets qui ont fait grincer des dents dans les couloirs de la Direction, notamment chez les détracteurs de celle qui était auparavant vice-procureur de Paris, le fait qu’elle aurait par exemple eu son mot à dire sur des nominations au sein de l’Institution.
Sans forcément que l’on puisse considérer cela comme un départ précipité, un décret du 22 avril 2023 avait nommé Aline Empatz au Tribunal judiciaire de Versailles, en tant que vice-présidente adjointe de cette Cour d’appel.
Ce changement de titulaire du poste de conseiller justice du DG est donc visiblement bienvenu. Il est néanmoins fort probable que les actions de la nouvelle occupante de ses fonctions seront scrutées de près…
C’est une situation “complexe”, comme le résument dans une litote des officiers ou d’anciens hauts gradés. Des gendarmes ou anciens gendarmes s’interrogent vivement sur l’influence d’une conseillère du directeur général Christian Rodriguez. Les détracteurs de la magistrate Aline Emptaz, en poste depuis novembre 2020, prêtent en effet à cette ancienne vice-procureure de Paris, un rôle qui dépasserait le cadre de ses attributions.
Une affirmation bien difficile à vérifier et qui pourrait simplement relever d’une jalousie due à des interventions peu appréciées d’une civile dans la sphère militaire ou d’un machisme de mauvais goût. Interrogée lundi sur ces questionnements sur le rôle de la conseillère juridique, la direction de la Gendarmerie n’a fait “aucun commentaire”. Pourtant, “cela grince énormément des dents en interne, c’est le sujet de la rentrée”, précise un fin connaisseur de la Gendarmerie.
Ambiance pesante
Selon une autre source, un “grand ancien”, la situation serait même « catastrophique et préoccupante”. Et de décrire une ambiance devenue pesante dans les couloirs des patrons de la Gendarmerie. “On n’a jamais vu cela”, affirme ce très bon connaisseur des rouages de la direction générale.
“Le poste de conseiller justice a toujours existé, mais jamais avec un rôle aussi important”, poursuit-il, estimant que la conseillère est devenue “de fait, la directrice adjointe”. Soit la numéro 2 officieuse de l’Arme, un poste sur le papier dévolu au major-général, le numéro trois étant le directeur des opérations et de l’emploi. Selon les détracteurs de la magistrate, elle aurait par exemple eu son mot à dire sur des nominations.
Surprises du mercato
Cette rumeur sur la supposée influence de la conseillère du directeur général a d’ailleurs été nourrie par plusieurs surprises du mercato de cet été. La plus commentée a été le mouvement à la tête de la direction des opérations et de l’emploi, avec l’arrivée du général Olivier Kim. Ce dernier était pourtant au départ pressenti pour prendre la région Bretagne, un poste finalement attribué… à Hubert Bonneau, l’ancien directeur des opérations et de l’emploi, qui rétrograde donc dans la hiérarchie officieuse des gendarmes.
Mais d’autres nominations sont également citées en exemple, signe du mécontentement d’une partie des troupes. Plus largement, alors que les cadres supérieurs de la Gendarmerie sont parfois avares en confidence sur la tambouille interne de l’Arme, il est plutôt étonnant de les voir ainsi s’épancher, donnant des airs de crise interne à l’affaire. “Il y a de l’eau dans le gaz entre le chef et certains de ses grands subordonnés, il y a certainement des choses qui ne tournent pas rond”, résume un second “grand ancien”.
En effet, quel que soit le degré de véracité de ces bruits de couloirs, ces interrogations fragilisent aujourd’hui le directeur général Christian Rodriguez. Ce dernier vient tout juste de remanier son cabinet cet été, avec les arrivées de Bertrand Collot comme chef de cabinet, en mai dernier, et d’Eric Delain comme directeur de cabinet. Le patron de l’Arme se voit pourtant bien continuer jusqu’en 2024 et les Jeux olympiques. Soit un mandat de cinq ans pas vu depuis vingt ans avec le préfet Bernard Prévost. Ainsi, les deux derniers directeurs généraux n’ont été aux manettes que pendant trois ans.
Mais ce quinquennat est-il vraiment à sa portée? Et quel héritage laissera-t-il derrière lui? “Je me demande si tout cela ne va faire perdre le poste de directeur général à un gendarme pour le remplacer par un préfet”, craint l’une de nos sources. Et de s’inquiéter déjà d’une succession, jusqu’ici préemptée par des gendarmes depuis 2004, en passe de devenir difficile.
Selon une source digne de foi et désirant conserver l’anonymat, la dame Emptaz avait tapé dans les yeux du DG, le sieur Rodriguez. Mais cette attirance n’était point partagée. Elle avait préféré un général du cabinet du DG avec moins d’étoiles, mais plus de prestance. Notre brave Rodriguez, alias Childeric, s’aperçut tardivement de la complicité qui s’était établie entre Dame Emptaz et le général.
Il lui posa la question. Réponse : nous sommes pacsés avec Mme Emptaz depuis trois mois. Sans autre forme de procès et en toute illégalité, le général se retrouva aussitôt affecté à Arcueil (94). On ne badine avec l’amour !
Quand j'avais protesté lorsque deux gendarmes en voiture de fonction et gilets pare-balle étaient venus faire leur cinéma dans la rue pour me faire accepter une convocation en gendarmerie et transmise par l'un de leurs portables, donc sans aucune preuve , ameutant ainsi tout le quartier, la gendarmerie m'avait répondu de demander des comptes à la justice .... et pour quoi faire ?
Je ne connaissais même pas l'objet de cette convocation. Les deux gendarmes , non plus, selon eux.
Depuis , pas mal de situations deviennent plus claires.
Le cyber-gendarme envoyé dans ce département essentiellement d'activité agricole pour surveiller les cultivateurs , a fait mettre les anciennes box (sans mouchard) de téléphonie en panne et les a fait remplacer par celles décidées par l'ARCEP en 2019 ( de mémoire) avec mouchard.
Comme il lui reste du temps malgré ou grâce à ses 103 subalternes , il s'occupe simultanément de ses petites affaires quasi perso, et fait même lui-même , du harcèlement de femme seule.
Je me permets ici un conseil malgré son agressivité violente : " perdez du poids , vous êtes sur une mauvaise pente "
Cet homme , père de 3 enfants et en voie de surcharge pondérale grave , fait faire des tirs de micro-ondes par ses subalternes sur la voiture de sa cible ( moi) .
Il vole au secours de son frère Laurent en classant tout seul , sans la justice, par des jeunes subalternes interposés et à l'oral ( sans preuve) une plainte pour escroquerie.
Il confie au cordo local (pinpon) le harcèlement neuro-technologique de sa cible . Pinpon en connaisseur du harcèlement en question utilise les 2 maisons voisines et leurs habitants pour attaquer , agresser et priver de sommeil la femme que le cyber-gendarme veut abattre
Pour compléter le tableau , la gendarmerie qui semble présente et décisionnelle partout, s'est alliée ici avec la justice grâce à une magistrate apparemment à leur ordre, et envoyée tout spécialement de Paris.
Dans ce département à l'habitat dispersé, il faut ajouter à ce tableau inquiétant , l'installation à toute vitesse de boitiers 5G ( ou 6G) dans tous les coins les plus reculés de cet environnement de résidences clairsemées ( fermes) .... en attendant de faire les branchements qui verront l'extinction de la faune , de la flore et des humains.
La 5G est une arme et non un confort supplémentaire pour communiquer ou télécharger plus vite des films de Q .