lundi 7 juillet 2025

L'ayatollah Khamenei fait sa première apparition publique depuis la guerre avec Israël et les États-Unis

 https://www.zerohedge.com/geopolitical/ayatollah-khamenei-makes-first-public-appearance-war-israel-us

par Tyler Durden
Lundi 7 juillet 2025 - 

Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a fait sa première apparition publique depuis le conflit de 12 jours du mois dernier entre l'Iran et Israël , à l'issue duquel les États-Unis ont envoyé des bombardiers B-2 pour tenter de détruire trois installations nucléaires clés.

Khamenei a assisté à une cérémonie religieuse à Téhéran, dont la vidéo a été diffusée par les médias d'État. Le dirigeant de 85 ans s'est rendu à la mosquée Imam Khomeini lors d'une cérémonie de l'Achoura, considérée comme le jour le plus sacré du calendrier musulman chiite.

Document distribué : Bureau du guide suprême iranien/Reuters

On voit le Guide suprême saluer une grande foule avec des signes de la main et des hochements de tête tandis que les participants se lèvent et scandent des slogans de dévotion à son arrivée.

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Khamenei était resté complètement hors de la vue du public depuis l'attaque surprise d'Israël le 13 juin , seuls des messages préenregistrés ayant été diffusés à plusieurs reprises.

De nombreuses spéculations ont circulé selon lesquelles Israël cherchait à éliminer l'Ayatollah si ses avions de combat ou ses assassins en avaient l'occasion . De nombreux hauts responsables militaires ainsi que des scientifiques nucléaires ont été tués au cours de cette période de 12 jours, au cours de laquelle l'Iran a lancé d'importantes attaques de représailles contre Tel-Aviv et d'autres localités d'Israël.

Dans un discours préenregistré clé prononcé par Khamenei le 26 juin à l'issue des combats, le haut dignitaire religieux chiite a rejeté l'exigence de soumission de l'Iran formulée par le président Trump. Il a déclaré que l'Iran avait infligé une « gifle à l'Amérique » en lançant une attaque contre une base militaire américaine au Qatar ; le Pentagone a toutefois affirmé que tous les projectiles avaient été interceptés.

Trump a répondu en adressant un message à Khamenei qui disait : « Vous êtes un homme de grande foi, respecté dans votre pays. Mais vous devez être honnête : vous avez été battu à mort. »

Étant donné les avancées évidentes des services de renseignement du Mossad dans la République islamique, Khamenei a probablement passé le conflit dans un bunker souterrain secret connu uniquement de ses plus proches collaborateurs.

L’Iran a subi de graves dommages, mais Tel-Aviv a également montré des signes de dévastation à cause des frappes de missiles balistiques et hypersoniques iraniens :

À un moment donné, le quartier général du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) a été attaqué et aurait été détruit par des avions de guerre israéliens.

Mais les missiles balistiques iraniens ont également causé de graves dommages à certains centres de commandement militaire israéliens, notamment des attaques apparentes sur certains sites du Mossad en Israël.

dimanche 6 juillet 2025

La Russie, ce miroir qu’on veut briser

 https://www.kairospresse.be/la-russie-ce-miroir-quon-veut-briser/

Serge Van Cutsem

«  Lorsque le mensonge devient la norme, voir la vérité ailleurs devient une menace »

Peut-on encore raisonnablement donner tort à Vladimir Poutine lorsqu’il défend, au sein de son Conseil de sécurité du 10 juin 2025, les valeurs traditionnelles comme piliers de la souveraineté et de la cohésion sociale ? Poser la question honnêtement suffit à comprendre pourquoi une telle vision est aujourd’hui censurée presque systématiquement en Occident.

Lors de cette réunion télévisée, le président russe a appelé à résister fermement à l’agression idéologique occidentale, dénonçant une guerre de l’information visant à imposer des modèles culturels destructeurs sous couvert de modernité. Il a réaffirmé que les valeurs traditionnelles russes – famille, humanisme, unité historique, devoir de mémoire – étaient le socle de la civilisation russe. Cette posture est-elle extrême ? Pas du tout, et elle est même très largement partagée dans le monde non-occidental, y compris dans de nombreux pays démocratiques qui refusent la déconstruction systématique de leurs repères, car toutes ces valeurs n’ont rien d’anti-démocratiques.

C’est précisément pour cette raison que la Russie fait l’objet d’une censure totale dans les médias occidentaux car elle représente aujourd’hui un modèle alternatif intolérable pour les « Élites » occidentales.

Ce que l’Occident ne supporte pas, ce n’est pas tant ce que fait la Russie, mais ce qu’elle incarne : la preuve vivante qu’un autre modèle est possible. Dans un monde où l’on prétend que la famille est obsolète, que le genre est fluide, que les racines sont suspectes et que le passé doit être effacé et réécrit, voir un pays réaffirmer sa mémoire, sa foi, son patriotisme, et ses traditions est perçu comme une menace existentielle pour le projet occidental qui, faut-il le rappeler, n’est pas celui de la toute grande majorité des citoyens.

Si on empêche les peuples d’accéder à l’autre discours, ce n’est pas parce qu’il est faux, mais parce qu’il pourrait être jugé légitime, parce qu’il pourrait entraîner une identification spontanée : « tiens, ce qu’ils disent là-bas, c’est exactement ce qu’on ressent ici ». Et cela, les élites occidentales ne peuvent le tolérer, elles préfèrent préparer l’opinion à une guerre contre une puissance qu’elles ont préalablement diabolisée.

La soumission ne vient pas de la tradition, mais de sa destruction. Contrairement au narratif occidental dominant, ce n’est pas le respect des repères historiques, familiaux ou culturels qui opprime les peuples. C’est la perte de sens, l’isolement, la déconstruction de tout ce qui ancre l’individu dans une histoire, une géographie, une filière humaine. Quand tout est « déconstruit », il ne reste que des individus atomisés, interchangeables, dépendants de l’État ou des multinationales, exactement ce que vise le néolibéralisme dissimulé sous masque progressiste.

Le mécanisme permanent du narratif occidental c’est l’inversion accusatoire systématique :

  • Ils détruisent nos valeurs, mais accusent la Russie de barbarie.
  • Ils imposent une pensée unique, mais accusent la Russie de totalitarisme.
  • Ils censurent l’information, mais parlent de propagande russe.
  • Ils programment une guerre, mais affirment qu’ils protègent la paix.

Tout est là, et tout repose sur une chose : empêcher le contact à tout prix. Il ne faut pas que les peuples voient ce qui se passe vraiment à l’Est, il ne faut pas qu’ils puissent juger par eux-mêmes, il faut maintenir une peur irrationnelle. En fait, le rideau de fer militaire d’avant 1989 est devenu un rideau de fer médiatique, une déshumanisation de l’autre.

La guerre contre la Russie est avant tout une guerre contre la mémoire, contre l’identité, contre l’homme enraciné.

Ce qu’il faut comprendre en toute lucidité, c’est que la censure de la Russie n’est pas un effet secondaire de la guerre, c’est sa condition préalable, et il ne faut surtout pas croire que tout cela a débuté le 24 février 2022, les préliminaires sont largement antérieurs.

Et si finalement cette guerre devait éclater, ce ne serait pas le résultat d’une agression russe, mais l’aboutissement d’un processus de fabrication de l’ennemi, nécessaire pour masquer l’échec moral, spirituel et civilisationnel de l’Occident lui-même.

Ce n’est pas la Russie qu’ils veulent briser… mais notre capacité à reconnaître cet ancien reflet de ce que nous étions.

Serge Van Cutsem

«  Lorsque le mensonge devient la norme, voir la vérité ailleurs devient une menace »

Peut-on encore raisonnablement donner tort à Vladimir Poutine lorsqu’il défend, au sein de son Conseil de sécurité du 10 juin 2025, les valeurs traditionnelles comme piliers de la souveraineté et de la cohésion sociale ? Poser la question honnêtement suffit à comprendre pourquoi une telle vision est aujourd’hui censurée presque systématiquement en Occident.

Lors de cette réunion télévisée, le président russe a appelé à résister fermement à l’agression idéologique occidentale, dénonçant une guerre de l’information visant à imposer des modèles culturels destructeurs sous couvert de modernité. Il a réaffirmé que les valeurs traditionnelles russes – famille, humanisme, unité historique, devoir de mémoire – étaient le socle de la civilisation russe. Cette posture est-elle extrême ? Pas du tout, et elle est même très largement partagée dans le monde non-occidental, y compris dans de nombreux pays démocratiques qui refusent la déconstruction systématique de leurs repères, car toutes ces valeurs n’ont rien d’anti-démocratiques.

C’est précisément pour cette raison que la Russie fait l’objet d’une censure totale dans les médias occidentaux car elle représente aujourd’hui un modèle alternatif intolérable pour les « Élites » occidentales.

Ce que l’Occident ne supporte pas, ce n’est pas tant ce que fait la Russie, mais ce qu’elle incarne : la preuve vivante qu’un autre modèle est possible. Dans un monde où l’on prétend que la famille est obsolète, que le genre est fluide, que les racines sont suspectes et que le passé doit être effacé et réécrit, voir un pays réaffirmer sa mémoire, sa foi, son patriotisme, et ses traditions est perçu comme une menace existentielle pour le projet occidental qui, faut-il le rappeler, n’est pas celui de la toute grande majorité des citoyens.

Si on empêche les peuples d’accéder à l’autre discours, ce n’est pas parce qu’il est faux, mais parce qu’il pourrait être jugé légitime, parce qu’il pourrait entraîner une identification spontanée : « tiens, ce qu’ils disent là-bas, c’est exactement ce qu’on ressent ici ». Et cela, les élites occidentales ne peuvent le tolérer, elles préfèrent préparer l’opinion à une guerre contre une puissance qu’elles ont préalablement diabolisée.

La soumission ne vient pas de la tradition, mais de sa destruction. Contrairement au narratif occidental dominant, ce n’est pas le respect des repères historiques, familiaux ou culturels qui opprime les peuples. C’est la perte de sens, l’isolement, la déconstruction de tout ce qui ancre l’individu dans une histoire, une géographie, une filière humaine. Quand tout est « déconstruit », il ne reste que des individus atomisés, interchangeables, dépendants de l’État ou des multinationales, exactement ce que vise le néolibéralisme dissimulé sous masque progressiste.

Le mécanisme permanent du narratif occidental c’est l’inversion accusatoire systématique :

  • Ils détruisent nos valeurs, mais accusent la Russie de barbarie.
  • Ils imposent une pensée unique, mais accusent la Russie de totalitarisme.
  • Ils censurent l’information, mais parlent de propagande russe.
  • Ils programment une guerre, mais affirment qu’ils protègent la paix.

Tout est là, et tout repose sur une chose : empêcher le contact à tout prix. Il ne faut pas que les peuples voient ce qui se passe vraiment à l’Est, il ne faut pas qu’ils puissent juger par eux-mêmes, il faut maintenir une peur irrationnelle. En fait, le rideau de fer militaire d’avant 1989 est devenu un rideau de fer médiatique, une déshumanisation de l’autre.

La guerre contre la Russie est avant tout une guerre contre la mémoire, contre l’identité, contre l’homme enraciné.

Ce qu’il faut comprendre en toute lucidité, c’est que la censure de la Russie n’est pas un effet secondaire de la guerre, c’est sa condition préalable, et il ne faut surtout pas croire que tout cela a débuté le 24 février 2022, les préliminaires sont largement antérieurs.

Et si finalement cette guerre devait éclater, ce ne serait pas le résultat d’une agression russe, mais l’aboutissement d’un processus de fabrication de l’ennemi, nécessaire pour masquer l’échec moral, spirituel et civilisationnel de l’Occident lui-même.

Ce n’est pas la Russie qu’ils veulent briser… mais notre capacité à reconnaître cet ancien reflet de ce que nous étions.

Serge Van Cutsem

«  Lorsque le mensonge devient la norme, voir la vérité ailleurs devient une menace »

Peut-on encore raisonnablement donner tort à Vladimir Poutine lorsqu’il défend, au sein de son Conseil de sécurité du 10 juin 2025, les valeurs traditionnelles comme piliers de la souveraineté et de la cohésion sociale ? Poser la question honnêtement suffit à comprendre pourquoi une telle vision est aujourd’hui censurée presque systématiquement en Occident.

Lors de cette réunion télévisée, le président russe a appelé à résister fermement à l’agression idéologique occidentale, dénonçant une guerre de l’information visant à imposer des modèles culturels destructeurs sous couvert de modernité. Il a réaffirmé que les valeurs traditionnelles russes – famille, humanisme, unité historique, devoir de mémoire – étaient le socle de la civilisation russe. Cette posture est-elle extrême ? Pas du tout, et elle est même très largement partagée dans le monde non-occidental, y compris dans de nombreux pays démocratiques qui refusent la déconstruction systématique de leurs repères, car toutes ces valeurs n’ont rien d’anti-démocratiques.

C’est précisément pour cette raison que la Russie fait l’objet d’une censure totale dans les médias occidentaux car elle représente aujourd’hui un modèle alternatif intolérable pour les « Élites » occidentales.

Ce que l’Occident ne supporte pas, ce n’est pas tant ce que fait la Russie, mais ce qu’elle incarne : la preuve vivante qu’un autre modèle est possible. Dans un monde où l’on prétend que la famille est obsolète, que le genre est fluide, que les racines sont suspectes et que le passé doit être effacé et réécrit, voir un pays réaffirmer sa mémoire, sa foi, son patriotisme, et ses traditions est perçu comme une menace existentielle pour le projet occidental qui, faut-il le rappeler, n’est pas celui de la toute grande majorité des citoyens.

Si on empêche les peuples d’accéder à l’autre discours, ce n’est pas parce qu’il est faux, mais parce qu’il pourrait être jugé légitime, parce qu’il pourrait entraîner une identification spontanée : « tiens, ce qu’ils disent là-bas, c’est exactement ce qu’on ressent ici ». Et cela, les élites occidentales ne peuvent le tolérer, elles préfèrent préparer l’opinion à une guerre contre une puissance qu’elles ont préalablement diabolisée.

La soumission ne vient pas de la tradition, mais de sa destruction. Contrairement au narratif occidental dominant, ce n’est pas le respect des repères historiques, familiaux ou culturels qui opprime les peuples. C’est la perte de sens, l’isolement, la déconstruction de tout ce qui ancre l’individu dans une histoire, une géographie, une filière humaine. Quand tout est « déconstruit », il ne reste que des individus atomisés, interchangeables, dépendants de l’État ou des multinationales, exactement ce que vise le néolibéralisme dissimulé sous masque progressiste.

Le mécanisme permanent du narratif occidental c’est l’inversion accusatoire systématique :

  • Ils détruisent nos valeurs, mais accusent la Russie de barbarie.
  • Ils imposent une pensée unique, mais accusent la Russie de totalitarisme.
  • Ils censurent l’information, mais parlent de propagande russe.
  • Ils programment une guerre, mais affirment qu’ils protègent la paix.

Tout est là, et tout repose sur une chose : empêcher le contact à tout prix. Il ne faut pas que les peuples voient ce qui se passe vraiment à l’Est, il ne faut pas qu’ils puissent juger par eux-mêmes, il faut maintenir une peur irrationnelle. En fait, le rideau de fer militaire d’avant 1989 est devenu un rideau de fer médiatique, une déshumanisation de l’autre.

La guerre contre la Russie est avant tout une guerre contre la mémoire, contre l’identité, contre l’homme enraciné.

Ce qu’il faut comprendre en toute lucidité, c’est que la censure de la Russie n’est pas un effet secondaire de la guerre, c’est sa condition préalable, et il ne faut surtout pas croire que tout cela a débuté le 24 février 2022, les préliminaires sont largement antérieurs.

Et si finalement cette guerre devait éclater, ce ne serait pas le résultat d’une agression russe, mais l’aboutissement d’un processus de fabrication de l’ennemi, nécessaire pour masquer l’échec moral, spirituel et civilisationnel de l’Occident lui-même.

Ce n’est pas la Russie qu’ils veulent briser… mais notre capacité à reconnaître cet ancien reflet de ce que nous étions.

Serge Van Cutsem

«  Lorsque le mensonge devient la norme, voir la vérité ailleurs devient une menace »

Peut-on encore raisonnablement donner tort à Vladimir Poutine lorsqu’il défend, au sein de son Conseil de sécurité du 10 juin 2025, les valeurs traditionnelles comme piliers de la souveraineté et de la cohésion sociale ? Poser la question honnêtement suffit à comprendre pourquoi une telle vision est aujourd’hui censurée presque systématiquement en Occident.

Lors de cette réunion télévisée, le président russe a appelé à résister fermement à l’agression idéologique occidentale, dénonçant une guerre de l’information visant à imposer des modèles culturels destructeurs sous couvert de modernité. Il a réaffirmé que les valeurs traditionnelles russes – famille, humanisme, unité historique, devoir de mémoire – étaient le socle de la civilisation russe. Cette posture est-elle extrême ? Pas du tout, et elle est même très largement partagée dans le monde non-occidental, y compris dans de nombreux pays démocratiques qui refusent la déconstruction systématique de leurs repères, car toutes ces valeurs n’ont rien d’anti-démocratiques.

C’est précisément pour cette raison que la Russie fait l’objet d’une censure totale dans les médias occidentaux car elle représente aujourd’hui un modèle alternatif intolérable pour les « Élites » occidentales.

Ce que l’Occident ne supporte pas, ce n’est pas tant ce que fait la Russie, mais ce qu’elle incarne : la preuve vivante qu’un autre modèle est possible. Dans un monde où l’on prétend que la famille est obsolète, que le genre est fluide, que les racines sont suspectes et que le passé doit être effacé et réécrit, voir un pays réaffirmer sa mémoire, sa foi, son patriotisme, et ses traditions est perçu comme une menace existentielle pour le projet occidental qui, faut-il le rappeler, n’est pas celui de la toute grande majorité des citoyens.

Si on empêche les peuples d’accéder à l’autre discours, ce n’est pas parce qu’il est faux, mais parce qu’il pourrait être jugé légitime, parce qu’il pourrait entraîner une identification spontanée : « tiens, ce qu’ils disent là-bas, c’est exactement ce qu’on ressent ici ». Et cela, les élites occidentales ne peuvent le tolérer, elles préfèrent préparer l’opinion à une guerre contre une puissance qu’elles ont préalablement diabolisée.

La soumission ne vient pas de la tradition, mais de sa destruction. Contrairement au narratif occidental dominant, ce n’est pas le respect des repères historiques, familiaux ou culturels qui opprime les peuples. C’est la perte de sens, l’isolement, la déconstruction de tout ce qui ancre l’individu dans une histoire, une géographie, une filière humaine. Quand tout est « déconstruit », il ne reste que des individus atomisés, interchangeables, dépendants de l’État ou des multinationales, exactement ce que vise le néolibéralisme dissimulé sous masque progressiste.

Le mécanisme permanent du narratif occidental c’est l’inversion accusatoire systématique :

  • Ils détruisent nos valeurs, mais accusent la Russie de barbarie.
  • Ils imposent une pensée unique, mais accusent la Russie de totalitarisme.
  • Ils censurent l’information, mais parlent de propagande russe.
  • Ils programment une guerre, mais affirment qu’ils protègent la paix.

Tout est là, et tout repose sur une chose : empêcher le contact à tout prix. Il ne faut pas que les peuples voient ce qui se passe vraiment à l’Est, il ne faut pas qu’ils puissent juger par eux-mêmes, il faut maintenir une peur irrationnelle. En fait, le rideau de fer militaire d’avant 1989 est devenu un rideau de fer médiatique, une déshumanisation de l’autre.

La guerre contre la Russie est avant tout une guerre contre la mémoire, contre l’identité, contre l’homme enraciné.

Ce qu’il faut comprendre en toute lucidité, c’est que la censure de la Russie n’est pas un effet secondaire de la guerre, c’est sa condition préalable, et il ne faut surtout pas croire que tout cela a débuté le 24 février 2022, les préliminaires sont largement antérieurs.

Et si finalement cette guerre devait éclater, ce ne serait pas le résultat d’une agression russe, mais l’aboutissement d’un processus de fabrication de l’ennemi, nécessaire pour masquer l’échec moral, spirituel et civilisationnel de l’Occident lui-même.

Ce n’est pas la Russie qu’ils veulent briser… mais notre capacité à reconnaître cet ancien reflet de ce que nous étions.

Ma contribution à la célébration du jour de l'indépendance aux États-Unis par les chrétiens

 https://healthimpactnews.com/2025/my-tribute-to-christians-celebrating-independence-day-in-the-u-s/


par Brian Shilhavy  4 juillet 2025

Quand j'ai commencé à préparer mon café ce matin, j'ai allumé une station de radio chrétienne locale parce que j'aime la musique de culte qu'ils diffusent habituellement.

Mais quand je l'ai allumé ce matin, une voix m'a dit : « Aujourd'hui, nous célébrons le 4 juillet avec de la musique patriotique, car les États-Unis sont le pays le plus libre du monde. »

Je l'ai éteint immédiatement et je suis allé à ma playlist à la place.

Donc, pour tous les chrétiens américains qui célèbrent aujourd’hui le « Jour de l’Indépendance » et croient que les États-Unis sont le « pays le plus libre du monde », j’ai réalisé une courte vidéo pour vous rappeler exactement ce que vous célébrez aujourd’hui.

En rapport :

C’est une longue marche hors du tunnel des ténèbres appelé « patriotisme » pour la plupart des Américains, en particulier les chrétiens, et il m’a fallu de nombreuses années pour sortir de ce tunnel et entrer dans la Lumière de la Vérité.

Je sais que beaucoup d’entre vous qui lisez Health Impact News sont probablement encore quelque part dans ce tunnel.

J’ai publié un article l’année dernière, peut-être mon article le plus recherché et le meilleur de l’année, pour aider les autres à sortir de ce tunnel d’idolâtrie.

La Constitution américaine a-t-elle été écrite pour protéger « nous, le peuple » ou « nous, les mondialistes » ? Les pères fondateurs étaient-ils des hommes pieux ou des serviteurs de Satan ?

En haut à gauche : des enfants américains prêtant allégeance au drapeau américain avec le salut Belamy ( source de l'image ), en haut à droite : des enfants de maternelle à Huainan, en Chine centrale, saluant le drapeau chinois ( source de l'image ), en bas à gauche : saluant le drapeau nazi allemand ( source de l'image ), en bas à droite : des enfants d'âge préscolaire à Ashkelon, en Israël, célébrant le jour de l'indépendance ( source de l'image ).

Nationalisme et Dix Commandements – Patriotisme ou idolâtrie ? « Liberté » ou esclavage ?

Voici mes précédents articles sur le Jour de l’Indépendance depuis 2021, l’année où des millions de personnes ont donné leur vie pour servir l’État médical en se faisant vacciner contre la COVID-19, tout cela au nom de la « liberté ».

2021

Les Américains célébreront-ils le « Jour de l'Indépendance » alors que le CDC révèle près de 7 000 morts et un demi-million de blessés suite aux injections de COVID ?

2022

Une nation idolâtre célèbre la « liberté » même si elle est esclave du culte pharmaceutique

2023

Il n'y a pas de paix pour les États-Unis

2024

Qu’est-ce que la vraie liberté ?


Cet article a été écrit par Human Superior Intelligence (HSI)