mardi 11 novembre 2025

Neuralink et les enjeux éthiques de la fusion entre l'esprit et la machine

 https://www.naturalnews.com/2025-11-10-neuralink-and-ethical-frontier-merging-mind-machine.html

11/10/2025 // Willow Tohi

  • Neuralink, une entreprise spécialisée dans les interfaces cerveau-ordinateur, poursuit les essais cliniques sur l'homme de son implant cérébral de la taille d'une pièce de monnaie.
  • Cette technologie vise à restaurer des fonctions telles que la mobilité et la communication chez les personnes paralysées et atteintes d'autres affections neurologiques.
  • Cette technologie soulève d'importantes questions éthiques, notamment en matière de respect de la vie privée, de surveillance et de risques d'utilisation abusive.
  • Cette évolution reflète une « volonté d'ordre » humaine plus large qui, poussée à l'extrême, peut menacer la liberté individuelle.
  • Le débat philosophique fondamental porte sur la question de savoir si une telle technologie accroît le potentiel humain ou risque de saper l'essence humaine et le libre arbitre.

Le développement fulgurant des interfaces cerveau-ordinateur pousse l'humanité vers un précipice éthique et philosophique sans précédent. 

 Initié par Neuralink, la société d'Elon Musk qui a déjà implanté son dispositif de la taille d'une pièce de monnaie chez plusieurs patients, ce domaine promet de redonner la mobilité aux paralysés et la vue aux aveugles.

 Pourtant, cette même technologie soulève de profondes questions quant au respect de la vie privée, à l'autonomie et à la nature même de la liberté humaine. Alors que les entreprises et les gouvernements explorent toujours plus en profondeur les rouages ​​du cerveau humain, la société est contrainte de se confronter à une question fondamentale : cette technologie représente-t-elle une nouvelle frontière pour la guérison, ou risque-t-elle de réduire l'humanité à une machine hyper-contrôlée et dénuée d'âme ?

Un bond technologique prometteur sur le plan médical

La mission principale de Neuralink est de créer une interface cerveau-ordinateur (ICO) généralisée, appelée « Link ». Ce dispositif, implanté dans le cerveau, utilise des fils ultrafins munis de plus d'un millier d'électrodes pour enregistrer l'activité neuronale. 

L'objectif ultime est de décoder ces signaux et d'utiliser la stimulation électrique pour permettre aux utilisateurs de contrôler des dispositifs externes, tels que des curseurs d'ordinateur ou des prothèses, par la seule force de la pensée. 

Les applications médicales potentielles sont révolutionnaires. L'entreprise ambitionne de traiter diverses pathologies graves, notamment la tétraplégie, la paraplégie, la cécité et les troubles neurologiques comme la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer. Pour les personnes souffrant de handicaps physiques importants, cette technologie représente un espoir de retrouver autonomie et communication.

L'ombre d'une volonté totalitaire d'ordre

Cependant, l'ambition de décoder le cerveau humain et d'interagir avec lui dépasse le cadre médical pour s'inscrire dans un domaine profondément philosophique. La volonté d'imposer ordre et contrôle aux processus chaotiques de la nature et de la société humaine est une caractéristique intrinsèque de l'être humain. Historiquement, cette « volonté d'ordre » a trouvé son expression la plus destructrice dans les régimes totalitaires, qui cherchent à subordonner chaque aspect de la vie, y compris la pensée elle-même, à un cadre idéologique rigide. 

Dans son ouvrage de 1958, Le Meilleur des mondes revisité, Aldous Huxley mettait en garde contre le risque que cette impulsion transforme en « tyrans ceux qui aspirent simplement à mettre de l'ordre », utilisant la « beauté de l'ordre » pour justifier le despotisme. 

La trajectoire actuelle, de l'hypersurveillance et des systèmes de crédit social à l'intégration proposée des technologies numériques à la biologie humaine, peut être perçue comme la continuation de cette impulsion totalitaire, désormais rendue possible par les technologies de pointe.

Du contrôle psychologique au contrôle biologique

Historiquement, l'asservissement de l'individu par l'État s'est opéré par des moyens psychologiques tels que la propagande. Neuralink et les technologies similaires menacent de le remplacer par une intervention biologique et matérielle directe. 

Une interface cerveau-ordinateur (ICO) pleinement aboutie pourrait rendre transparent chaque processus cognitif, permettant ainsi la surveillance et la correction potentielle des pensées avant même qu'elles ne se transforment en actions. 

Ceci soulève la perspective inquiétante d'un système judiciaire punissant les « crimes objectifs » – des pensées jugées criminelles avant même tout acte physique. Un tel système représenterait l'émancipation ultime de la volonté de commander, affranchie de toute contrainte humaine, réduisant les individus à des automates dont la vie intérieure serait constamment régulée par un système externe. 

Les enjeux éthiques sont considérables et touchent à la vie privée, au consentement et au risque d'une nouvelle forme d'esclavage technologique.

Le débat non résolu sur l'essence humaine

Ce débat technologique repose sur un conflit philosophique fondamental concernant la nature humaine. Les tenants d'une vision purement matérialiste, comme l'auteur Yuval Noah Harari, affirment que la conscience et le libre arbitre humains ne sont que des illusions produites par des processus biochimiques au sein du cerveau, une « Grande Machine ». 

Dans cette perspective, une puce cérébrale n'est qu'un outil d'optimisation d'un système biologique. 

À l'inverse, une vision humaniste considère l'essence, le libre arbitre et l'âme comme irréductibles. Dans ce cadre, même dans les circonstances les plus oppressives, la capacité humaine de choisir – de se conformer à l'intégrité et aux principes éthiques – demeure le cœur de la liberté. 

 Le danger des interfaces cerveau-machine réside dans le fait que, dans notre quête pour corriger la machine, nous risquons d'anéantir, par inadvertance, l'essence même de notre humanité, sacrifiant l'esprit humain imprévisible, créatif et souverain au nom d'un ordre stérile et contrôlé.

Un carrefour pour l'humanité

Alors que Neuralink poursuit ses essais cliniques, la société se trouve à un tournant décisif. La promesse d'alléger de profondes souffrances humaines constitue une force puissante et moralement impérieuse qu'il est impossible d'ignorer. Pourtant, le contexte historique et philosophique nous met en garde contre une adhésion aveugle à une technologie susceptible de transformer radicalement l'expérience humaine. 

Le défi consistera à trouver un juste milieu, en exploitant le potentiel médical des interfaces cerveau-ordinateur tout en érigeant des garanties éthiques et juridiques solides afin de protéger l'autonomie individuelle, la vie privée et le domaine inviolable de la pensée humaine. 

L'avenir de cette technologie dépendra non seulement de son ingénierie, mais aussi de la réponse collective de la société à une question ancestrale : que signifie être libre ?

Les sources de cet article incluent :

Brownstone.org

USAII.org

Les États-Unis suspendent leurs ventes d'armes à l'OTAN en raison de la paralysie du gouvernement.

 https://halturnerradioshow.com/index.php/news-selections/world-news/u-s-suspends-arms-sales-to-nato-over-govt-shutdown

Les États-Unis ont suspendu leurs ventes d'armes aux alliés de l'OTAN et à l'Ukraine, pour un montant de plus de 5 milliards de dollars, en raison du blocage budgétaire en cours, rapporte Axios, citant le département d'État.

Le Danemark, la Pologne et la Croatie sont actuellement dans l'incapacité de recevoir leurs commandes, qui comprennent des missiles AMRAAM, des missiles HIMARS et des radars Aegis.

Selon un porte-parole du Département d'État, ce retard de livraison « porte gravement atteinte à la sécurité des alliés et à l'industrie de défense américaine, contrainte de suspendre l'exécution de ses contrats ».

L'administration américaine est paralysée depuis une quarantaine de jours. Habituellement, les questions relatives aux exportations d'armements américains sont examinées par le Congrès, qui reçoit les informations nécessaires du Département d'État. Or, seul un quart des effectifs du Département d'État sont actuellement en poste.

Mensonges sur le dérapage des comptes publics : Nono le neuneu n’a pas de souci à se faire

 https://www.vududroit.com/2025/11/mensonges-sur-le-derapage-des-comptes-publics-nono-le-neuneu-na-pas-de-souci-a-se-faire/

Coucou les amis magistrats. « J’espère que vous allez bien ? » Puisque c’est comme ça qu’on dit maintenant pour être bienveillant, plutôt que le classique « comment allez-vous ? ». Bon pour tout dire, comment vous allez, je m’en tape un peu. Parce qu’une fois de plus on constate le mal que vous aurez fait à mon pays.

Nono le neuneu, célèbre pornographe

Nouvel épisode avec Bruno Lemaire, le célèbre pornographe. Parce que Nono le neuneu, voilà t’y pas qu’il vient de cracher le morceau. Il a publié la lettre par laquelle il informait Emmanuel Macron du dérapage des comptes publics et des 154 milliards d’euros qui se baladaient (!) et reconnu que c’était Macron qui avait voulu que l’on mente à la représentation nationale et accessoirement au peuple français sur l’état des finances. Et que l’on applique la Constitution en faisant voter au Parlement une loi de finances rectificatives. Désolé, mais c’est du gangstérisme politique pur et simple.

Nono le neuneu, c’est vous qui avez voulu qu’on le garde. Lorsque vous avez liquidé politiquement François Fillon pour faire élire votre cher Macron, vous vous êtes bien gardés de lui appliquer le même traitement à l’occasion de l’emploi d’attaché parlementaire de sa femme par ailleurs artiste peintre (!!!!!). Pas touche aux hommes de main du parrain de l’Élysée. Ce qui a permis à la France de bénéficier des services de ce parfait incapable pendant sept ans ! Et d’ailleurs dans le « premier » gouvernement Lecornu, Macron avait tenu à ce qu’on y incorpore à nouveau votre protégé.

Alexis Kohler, le chef du gang élyséen, indispensable au parrain avait quelques soucis pour ses relations avec un armateur familial. Dont au passage plusieurs bateaux se sont trouvés impliqués dans narcotrafic. Qu’à cela ne tienne la Cour de cassation vient de déclarer que les infractions qu’on lui reprochait étaient prescrites. 

Comme celles concernant Richard Ferrand l’actuel président du Conseil constitutionnel. Super pratique la prescription, et quand elle est à géométrie variable c’est encore mieux. 

Kohler est évidemment impliqué dans les manipulations concernant la catastrophe financière que traverse notre pays. Le Parlement a souhaité l’entendre dans le cadre d’une commission d’enquête. Pas gêné, en violation de la constitution, il a refusé. Commettant de ce fait une infraction pénale. Eh bien surprise dites donc ! Voilà t’y pas que la procureure saisie a refusé de le convoquer en considérant que l’immunité présidentielle qui protège le président s’appliquait à ses collaborateurs. Alors que la Cour de cassation avait précisément dit le contraire, notamment dans l’affaire des « sondages Élysée » concernant les collaborateurs de Sarkozy. Géométrie variable là aussi. Avec un peu d’entraînement, ça n’est pas un exercice bien compliqué.

Nono le neuneu, faux témoin ?

Mais dites donc, amis magistrats, certes les révélations concernant la dissimulation de la catastrophe financière constituent un scandale politique géant. Mais on a là aussi une belle infraction pénale sous la main. Nono le neuneu alors qu’il n’était plus ministre, a été auditionné par des commissions d’enquête, où il semble bien qu’il ait menti comme un arracheur de dents. Ce qui constitue un faux témoignage (article 434 –16 Code pénal). Bon va comprendre pourquoi, alors que dans un pays normal Nono devrait déjà être en garde à vue, on est un peu sceptique sur le fait qu’il lui arrive le moindre problème. Parce qu’on connaît les règles.

Vous avez déchiqueté Fillon pour faire élire Macron, vous avez massacré les gilets jaunes pour sauver Macron, vous avez refusé de traiter la corruption géante de l’affaire Alstom, les infractions qui ont accompagné le pillage des finances publiques avec McKinsey et les bureaux d’études, l’abominable affaire du fonds Marianne. Vous venez de prononcer l’inéligibilité de la patronne du premier parti de France à l’élection principale de la Ve République, ce n’est quand même pas pour chercher des poux dans la tête de Nono quand même.

Surtout que montrant à quel point que vous étiez pas trop impartiaux, vous avez envoyé le très détesté Sarkozy en taule. En inventant une infraction biscornue pour une affaire qui avait 20 ans. Impitoyables avec les puissants, non mais ! Même si c’est de préférence quand ils sont impuissants depuis longtemps. Mais là vous avez joué sur le velours, tous les analphabètes juridiques, amateurs de politique par juge interposé ont poussé des glapissements de joie dans un consternant concert de bêtises. En attendant que ça tombe sur leur gueule à eux la prochaine fois (coucou Mélenchon, coucou Chikirou).

Bon, vous avez raison. Je m’égosille depuis des années, il arrive qu’on m’écoute poliment, mais ça ne sert à pas grand-chose. Et pas plus qu’Alexis Kohler, Nono le neuneu n’a probablement pas de souci à se faire.

Simplement on arrive peut-être au bout de l’aventure Macron, dont vous avez été une des clés. Peut-être viendra-t-il le temps de faire les comptes.

Dans ce cas il est possible que votre facture soit salée.

L’avocate du nouveau gouvernement révèle tout !

 





11 novembre , jamais la guerre

 


https://www.youtube.com/watch?v=nlGNF27GeNE

Xavier Poussard : l'homme qui fait trembler l'Elysée